Depuis la pandémie du Covid-19, les greffes d'organe sont moins nombreuses dus, entre autres, à des stocks insuffisants. En conséquences, les listes d'attentes ne cessent d’augmenter.
Un nombre de transplantations en baisse
A titre d'exemple, le nombre de transplantations en 2018 et 2019 était de 6 000 contre 5 000 en 2022. Face à ces chiffres, une biotech mulhousienne, CellProthera a décidé de faire bouger les lignes grâce à une nouvelle thérapie cellulaire unique au monde et française !
Par une simple prise de sang
Concrètement, avec une simple prise de sang du patient, les cellules souches présentes dans le sang sont extraites, démultipliées dans un automate puis injectées dans la zone à réparer.
Plus de risque de rejet du greffon
Cette solution, au potentiel très important, pourra à terme régénérer de nombreux tissus ou organes. Pour le patient, cela améliore durablement la fonction cardiaque et donc la qualité et l’espérance de vie. De plus, cela élimine le risque de rejet du greffon car injection de ses propres cellules souches. Pour les centres hospitaliers, cela réduit significativement les coûts de prise en charge des patients. La solution CellProthera est éthique car elle n’utilise pas de cellules souches embryonnaires.
Un développement clinique suivi par un conseil d’experts
Afin d’optimiser la pertinence et l’efficacité des essais cliniques, un conseil d’experts réunissant les plus grands noms de la cardiologie a été mis à contribution. Pas moins de 10 cardiologues de réputation mondiale suivent et conseillent CellProthera sur son développement clinique.
Didier Galibert
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