En France, l’endométriose touche 10 à 15% des femmes en âge de procréer. Une maladie gynécologique fréquente, pourtant encore assez méconnue alors qu’elle impacte la fertilité, la sexualité et le quotidien des femmes touchées.
Améliorer la prise en charge
Fond de dotation spécialisé autour des enjeux de santé publique de la jeune génération, le Lab Heyme a décidé de se mobiliser avec d’autres acteurs déjà engagés afin de développer des actions de prévention ciblées et d’améliorer la prise en charge de l’endométriose.
Aider à comprendre la maladie
Première étape de ce plan national, Endoblum a pour ambition d’aider à comprendre la maladie et son impact nocif sur la vie quotidienne. Comprendre, s’orienter et mieux vivre avec sont les trois chapitres développés sur le site.
Une orientation vers les médecins référents
Très pédagogique, Endoblum explique les différents types d’endométriose, les symptômes et leurs conséquences. Il présente aussi les différents examens, oriente vers les médecins référents, des centres spécialisés, et des traitements conventionnels ou alternatifs.
De nombreux témoignages
Endoblum contient également un grand nombre de témoignages sous forme de podcasts, vidéos et articles de blog permettant de toucher tous les publics concernés par ce manque d’information.
Plus d’infos sur www.endoblum.fr
Didier Galibert
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