Dans le prolongement des attentas que la France à connue, le gouvernement qui estime qu'un risque d'attaques chimiques est "réel mais très faible" vient d'autoriser l'armée a fournir ses antidotes au Samu.
Le seul antidote efficace pour la prise en charge des personnes exposées à des risques neurotoxiques est le Sulfate d'atropine, ce dernier étant longtemps réservé à l'armée dans le cadre d'une utilisation en zones de combats.
En cas d'attaques, les victimes seront traitées par injection par les services du Samu.
La pharmacie centrale des armées dispose d’un site de production près d’Orléans, et conserve également des stocks de médicaments de « sécurité », achetés aux industriels. Afin de fabriquer ses propres médicaments, la France dispose d’une autre unité publique de production à la pharmacie hospitalière des hôpitaux de Paris.
A.Bourdain
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