Entre se sentir obligé de ralentir et sentir que c’est le moment de le faire, il y a tout un monde. Celui de l’intégration. Qui passe par une sorte de « désintégration », l’abandon d’un schéma de fonctionnement.
A chacun son tempo
Dans son ouvrage « Et un jour… j’ai décidé de faire la tortue », Nathalie Desanti, coach certifiée en coaching parental, livre aux parents tous les conseils pour vivre en harmonie avec chaque membre de la famille. Personne n’est obligé de changer de tempo. Seul le besoin ressenti désigne ceux qui se sentiront éligibles à l’adoption du slow parenting.
Bien écouter son ventre
Pour se faire, il est vital de mettre son mental au repos et d’écouter son ventre. On sait que depuis peu l’intestin est pourvu de neurones au même titre que le cerveau. On compte en effet plus de 100 millions de neurones dans le tube digestif.
Mieux coordonner ses émotions
Le cœur, lui aussi possède des neurones. Des connexions neuronales partent de cet organe vital. Entre cerveau, cœur et intestin… les émotions naissent, fusent, s’entretiennent et se répondent.
Entrer en slow parenting
Etre un parent « slow », c’est accompagner son enfant à tout âge, dans l’écoute, la bienveillance et le respect, sans laisser le stress prendre les commandes. Son rôle est de l’amener à se sentir libre de choisir et non de le faire à sa place.
A lire : Et un jour… j’ai décidé de faire la tortue par Nathalie Desanti aux éditions Horay.
Didier Galibert
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