Une équipe de recherche de Zurich a suivi 421 femmes souffrant d’endométriose et a comparé les données recueillies avec celles d’un groupe contrôle, exempt de la maladie.
L’ensemble des femmes a répondu à un questionnaire portant sur leur vécu d’abus physiques et sexuels et sur leur sécurité affective passée. Les résultats montrent une corrélation entre la maladie, l’abus sexuel et le manque d’attention affective dans l’enfance. Ces facteurs augmentent le risque de souffrir d’endométriose à l’âge adulte. La différence la plus élevée avec le groupe contrôle concerne la maltraitance psychologique (44% contre 28% dans le groupe contrôle).
De futures investigations seront nécessaires pour confirmer et comprendre les résultats de cette étude.
 Valérie Karache
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18/07/2018 | 
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25/09/2023
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