La filiale française du laboratoire pharmaceutique allemand Merck a annoncé sa propre mise en examen pour "tromperie aggravée" liée aux "modalités d'information mises en place au moment de la transition de l'ancienne à la nouvelle formule en 2017".
Ce médicament, prescrit contre l'hypothyroïdie, avait changé de composition en 2017, et la nouvelle formule avait été incriminée par près de 31.000 patients souffrant d'effets secondaires dont des crampes, des maux de tête, des insomnies ou des vertiges.
Pour le laboratoire, "cette mise en examen ne concerne en aucun cas la qualité de la nouvelle formule du Levothyrox".
Frank Verain
|