Les médecines complémentaires intéressent de plus en plus les Français ! Il faut dire que près d’un quart d’entre eux y aurait recours.
Appelées parfois médecines non-conventionnelles, ces pratiques regroupent une liste de diverses disciplines médicales pas toujours reconnues en tant que tels par la profession. En effet, les méthodes de traitement employées par les médecines non-conventionnelles trouves ses origines au courant du 19ème siècle et peut aussi être issu de tradition séculaire.
Bien qu’elle soit considérée comme faisant partie de la médecine, beaucoup de professionnels de la santé émettent plusieurs doutes quant sa véritable efficacité thérapeutique.
En France, on ne reconnait légalement que deux médecines non –conventionnelle. L’acupuncture, qui est une branche de la médecine « dites » chinoise et qui consiste à planter de fines aiguilles à des points stratégiques du corps humain. L’acupuncture aurait pour bienfaits d’aider le patient souffrant de problèmes d’anxiété et de nervosité.
La deuxième, plus courante, c’est l’homéopathie. Il s’agit là de traitements médicamenteux. Les médicaments homéopathiques sont conçus à partir de produits 100% naturels. La plupart d’entre eux sont en fait issu de plante. Des médicaments qui par définition agissent de façon moins active que des produits chimique, mais qui, selon les thèses de certains médecins, seraient sur certains sujets malades plus efficace.
L’homéopathie est aujourd’hui pratiqué par près de 5000 médecins appelés « homéopathes ». On dénombre près Généraliste pour la plupart. Les médicaments prescrits sont moins chers ainsi que le prix des consultations chez les homéopathes.
Ces deux pratiques sont pour l’instant les seules pratiques autorisées dans l’hexagone. Contrairement à d’autre pays européen comme le Danemark, la Suisse, l’Allemagne ou les médecines complémentaires sont très rependu.
Raphael DELVOLVE |