Aujourd’hui, les maladies rares concernent 3 millions de personnes en France. Pour ces patients, l’activité physique adaptée peut avoir un impact positif, notamment dans le cas des maladies neuromusculaires et neurodégénératives.
L’activité physique adaptée
L’activité physique adaptée (APA) se compose de séances structurées associant endurance, renforcement musculaire, coordination ou exercices respiratoires. Elle est reconnue en France comme un déterminant de santé majeur dans le cadre du parcours de soins des patients atteints d’affection de longue durée, d’une maladie chronique, présentant des facteurs de risque (hypertension, obésité, etc.) ou en perte d’autonomie.
Une solution digitale gratuite
A l’occasion de la Journée Internationale des personnes handicapées, Biogen France a présenté physio.me, la première solution digitale gratuite permettant de créer des programmes d’exercices personnalisés à destination des personnes atteintes de maladies neuromusculaires rares.
Un effet positif à trois niveaux
Pour ces malades, faire de l’exercice physique est important et un entrainement régulier peut avoir un effet positif à trois niveaux principaux : sur la qualité de vie avec la maladie, sur la santé mentale, sur les effets neuroprotecteurs.
Améliorer l’autonomie des patients
L’APA peut améliorer l’autonomie des patients en freinant la perte musculaire et en développant les capacités cardiaques et respiratoires. Elle peut apaiser l’anxiété et favoriser une meilleure image de soi. Elle peut réduire le stress oxydatif, diminuer les marqueurs inflammatoires et préserver les fonctions cérébrales.
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Didier Galibert
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