Une nouvelle étude sur les bienfaits de l’alimentation, dont les scientifiques parlent beaucoup actuellement : des chercheurs italiens et suédois ont suivi 41.058 adultes en Suède pendant 18 ans.
Les vitamines C et E associées à une réduction de 32% du risque
Il ressort de l’étude qu’une consommation élevée de vitamines C et E est associée à une réduction de 32% du risque de développer la maladie de Parkinson, une maladie neuro-dégénérative liée à l’âge, à des facteurs génétiques mais pas seulement… Selon les données obtenues, une alimentation riche en antioxydants jouerait en effet un rôle préventif.
Privilégiez certains fruits et légumes
Les fruits et légumes, notamment le brocoli, les choux de Bruxelles, les oranges, les épinards, le chou vert, la citrouille ou les fruits à coque sont riches en vitamines anti-oxydantes. Il est connu que les vitamines C et E préviennent limite l’oxydation et l’inflammation, et donc le vieillissement des cellules, altérées par les radicaux libres.
Des dosages encore à définir
Le problème, quelle dose prendre car il n’en faut pas trop non plus. A ce stade, des recherches complémentaires seront nécessaires pour étudier les quantités exactes qui seraient optimales pour réduire le risque de maladie de Parkinson.
Pour rappel, la maladie de Parkinson est la deuxième maladie neuro-dégénérative la plus fréquente de France, après la maladie d’Alzheimer.
Philippe Mercier
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