Selon l’Organisation mondiale de la santé, une personne sur trois a un rapport insuffisant en iode. Or les conséquences de ce manque sont majeures (problème de tyroïde, bromyalgie, surpoids, fatigue, difficultés de concentration, dépression…).
De nombreuses recherches font le lien entre la carence en iode et les maladies du sein, y compris le cancer du sein. En fait, les recherches datent d’il y a plus de soixante-dix ans. Cependant la médecine conventionnelle reste souvent coincée dans son modèle de chirurgie, chimiothérapie, thérapie hormonale et radiothérapie.
Dans son livre « La crise de l’iode, l’impact sur notre santé », Lynne Farrow s’appuie sur les témoignages de personnes pour lesquelles l’iode a changé positivement la vie et met à la disposition de tous des ressources précieuses pour prendre la pleine mesure de la situation.
Elle nous apprend notamment que notre environnement et de nombreux produits de consommation courante sont aujourd’hui saturés en brome (élément anti-iode par excellence) et nous enjoint à une vigilance accrue de nos besoins en oligo-éléments.
A Lire : « La crise de l’iode, l’impact sur notre santé » de Lynne Farrow, préface du Dr David Brownstein, éditions Dangles.
Didier Galibert
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